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May 2019

Une lumière dans l’obscurité by Yohan

30 May 2019

Toutes les croyances sont réelles car crues. Alors, oui tout le monde a raison lorsqu’il défend ou explique son point de vue. Au-delà de la croyance personnelle se situe à un niveau dépassant l’entendement, la vérité de ce qui est. Elle est disponible à chaque instant, il nous suffit de contempler la nature. Le monde est parfait tel qu’il est, car il est la somme des croyances collectives. Tout y est possible, car tout peut être imaginé. En plaçant des limites et des conditions à notre vie, il est tout à fait normal que celle-ci soit limitée et conditionnée. Nous souffrons de cela, ce qui est compréhensible et avec du recul, évident.  La création dans sa totalité est animée par une force provenant d’une source intarissable d’Amour et de parfaites possibilités n’attendant que notre conscience pour être expérimentées. Lors de notre arrivée sur Terre, notre âme, pour intéragir dans la matière avait besoin d’un véhicule, d’une enveloppe charnelle. Nous nous sommes donc matérialisés en usant de notre pouvoir créateur. Par la suite, notre corps est devenu notre maitre, ce qui nous a éloigné de notre nature essentielle. De nos jours beaucoup d’importance est donné à la forme matérielle, ce qui explique pourquoi l’Homme oscille entre joie et peine. Il nous faut donc sortir de l’illusion en nous rappelant de notre essence afin de recréer ce lien intime en nous. En nous reconnectant à cette partie, nous renouons avec notre pouvoir créateur dépourvu de limite. C’est comme si une bougie placée dans une salle obscure pensait être l’obscurité. En faisant cela elle oublie petit à petit son rayonnement. La bougie perçoit tout de même la lueur et c’est d’ailleurs ce qui la fait tenir, la fait espérer, mais avec le temps cela devient dur. Elle se sent seule et démunie, car l’obscurité est vaste et parait sans fin, mais pourtant au contact de la lumière elle disparaît immédiatement. Si seulement cette bougie reprenait contact avec son essence, elle pourrait dès lors avancer avec foi et confiance sur le chemin de sa réalisation. Pour vivre plus en légèreté, Il faut donc nous défaire consciemment de nos croyances étriquées. Il s’agit en quelques sortes de mettre en lumière nos parts “d’ombres”. De mettre la lumière sur ce que l’on ne désire plus afin de le transcender. “L’ombre” n’est que le sujet de l’expérience, s’y identifier aboutira à la souffrance. Tous les Hommes empruntent la […]

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Les Quatre Nobles Vérités et Le Noble Chemin Octuple by Yohan

Enseignements du Dalai Lama a Dharamsala

22 May 2019

Les Quatre Nobles Vérités Lorsque nous parlons de l’enseignement du Bouddha nous sous-entendons ”Les quatre Nobles Vérités” (chatvari arya satyani) car Bouddha aurait, tout au long de sa vie partagé environ 80.000 enseignements. Voici les quatre nobles vérités ainsi qu’une courte explication : 1.La vérité de la souffrance: Lorsque nous observons la vie avec discernement et honnêteté, nous constatons qu’elle est empreinte de souffrances. « Dukkha » signifie souffrance en Tibétain. Dukkha exprime également les émotions humaines telles que: peur, angoisse, colère, jalousie, solitude, mal-être…etc. Bouddha explique qu’il existe 4 étapes de souffrance dans la vie : La naissance, la maladie et la douleur physique, la vieillesse et la fin de la vie. 2.L’origine de la souffrance est l’attachement: La deuxième noble vérité nous parle de la cause primaire de la souffrance qui est le « désir ». Le désir en tant que tel n’est pas un problème, ce qui faire souffrir c’est l’attachement aux désirs. C’est la racine fondamentale de la souffrance. Pour mettre un terme à la souffrance, nous devons avant toutes choses, en être conscients. Etre attaché aux désirs de posséder, de rejeter ce qui est, nous cause de la souffrance. Bouddha nous enseigne également que nier le désir reviendrait à nier la vie elle-même. Nous devons trouver le juste équilibre entre les deux. Nous devons être maîtres de nos désirs, faute de quoi nous en souffrirons. 3.La cessation de la souffrance est possible: Bouddha lors de ce troisième accord nous dit qu’il serait possible de sortir de la souffrance. L’attachement doit être rompu de manière consciente. Se libérer de la souffrance, semble être une tâche ardue mais accessible par la maitrise de l’esprit. La conscientisation de l’attachement et sa libération permettent, d’annihiler soucis et problème, ainsi nous accédons à ce que nous appelons « Nirvana » qui signifie « libération » du Samsara ou des cycles des réincarnations.   4.Le chemin vers la cessation de la souffrance: Le Bouddha explique que l’éveil peut être atteint en suivant le chemin octuple, une voie progressive à la réalisation ultime de soi. Le Noble Chemin Octuple Le noble chemin octuple enseigné par le Bouddha, est la voie dans la pratique menant à la fin de la souffrance de « Dukkha » au « Nirvana ». Il est aussi appelé « chemin du milieu » car il est le chemin juste qui évite les deux extrêmes que sont l’attachement au désir des sens et de l’autre côté la libération dans la pratique de l’ascétisme. Il existe trois catégories […]

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Les Quatre accords toltèques by Yohan

21 May 2019

Les quatre accords toltèques de Don Miguel Ruiz : Le livre “Les Quatre Accords Toltèques” est écrit par Don Miguel Ruiz ancien neurochirurgien, devenu Chaman suite à une expérience de mort imminente. Cette épreuve l’aurait poussé à chercher des réponses aux questions de l’existence dans la tradition Toltèque, puis à écrire cet ouvrage en 1997. Dans son récit, il explique de façon très simple la possibilité de se libérer du conditionnement collectif, créé par nos systèmes culturels et éducatifs ainsi que nos croyances personnelles. Aujourd’hui avec vous, je vais partager ses accords ainsi qu’une brève explication : Que ta parole soit impeccable : Don Miguel Ruiz lors de ce premier accord, explique et nous suggère de prendre conscience du pouvoir et de l’impact de la parole. D’utiliser la parole uniquement à bon escient, pour exprimer l’Amour, mais en aucun cas pour médire son prochain ou pour se blâmer soi-même. La parole est un trésor qui peut aussi bien guérir ou détruire, c’est pourquoi il est nécessaire de l’utiliser avec justesse et bienveillance. Chaque fois que nous parlons, nous plantons une graine, à nous de savoir ce que nous désirons récolter. Quoi qu’il arrive n’en faites pas une affaire personnelle : Dans ce deuxième accord, il nous parle de ce que nous vivons par interaction avec notre prochain. Que ce soit la colère, la jalousie, la culpabilité ou la flatterie. Cela ne doit en aucun cas être pris personnellement car ce n’est qu’une projection mentale, très souvent erronée. Lorsque nous prenons conscience que nous ne sommes pas responsables du malheur et du bonheur des autres, nous sommes délivrés du fait qu’il puisse exister bourreau et victime. Ne jamais faire de suppositions : Faire des suppositions, c’est interpréter les choses et les évènements à l’avance, c’est prévoir, ce qui signifie voir avant d’avoir vu. Émettre des suppositions de quelque nature que ce soit, avec le temps, nous pousse à nous y identifier et il est fort possible que la réalité soit totalement différente. Ne plus faire de suppositions nous permet d’accepter le moment présent. De cette manière nous permettons à la vie de s’exprimer librement en soi. Ayons la bienveillance de partager avec notre prochain afin que notre cœur soit dénué de tous jugements précoces et infondés. Toujours faire de son mieux : Il est clairement expliqué ici d’incarner la meilleure version de nous-mêmes. Celle qui aime d’un Amour sans contraire, ni condition, simplement parce que cela émane […]

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La vacuité by Anaïs

20 May 2019

La vacuité exprime l’interdépendance qu’il y a entre tous les êtres formant la création. Elle dévoile le fait de faire parti d’un tout, d’une perfection sans égale, ne pouvant se dissocier d’une quelconque manière. Cela souligne donc l’interconnexion reliant toute forme de vie. Ce qui m’amène à la conclusion que nous sommes la nature et tout ce qui la constitue. Nous sommes cette feuille qui s’envole à l’appel du vent, nous sommes le vent transportant cette goutte de pluie, nous sommes cette goutte de pluie s’invitant dans le sol, transmettant l’impulsion de vie à cette brindille d’herbe s’élevant vers la lumière. En chacun de nous vibre l’étincelle de vie. Ensemble nous tissons cette trame de connivence. En me référant à cette vérité, à cette dépendance inhérente, nous faisant tous appartenir à cette même unité, je comprends alors l’importance de l’altruisme et de l’entraide. En aidant l’autre qui est une partie de toi, tu te fais du bien d’une manière indirecte et directe à la fois. Voilà pourquoi aider autrui peut nous procurer tant de joie, à travers ce biais c’est nous même que nous aidons. De là, découle un enchainement de bonheur, apportant en résonnance, un bien-être à l’intérieur de chaque cellule nous composant. C’est notre essence même que nous flattons à ce moment-là. À contrario, en émanant des sentiments destructeurs négatifs c’est à soi même que l’on porte préjudice, c’est à soi même que l’on fait du mal. En détruisant l’autre en conscience, c’est à une partie qui t’es tienne que tu nuis, c’est une particule de la totalité qui te définit, à laquelle tu appartiens, que tu démolis. Cette prise de conscience nous encourage à devenir responsables, en mettant en lumière le fait que chaque forme de vie, sans exception, a la même essence que celle qui fait de nous des êtres : se sentir telle une unité, non telle une entité dissociée. Incarner cette division alors que nous sommes l’indissociable mène à des plaisirs éphémères, à un bonheur illusoire et limité. Cela nous éloigne de la réalité profonde du vivant. C’est si beau de comprendre, si majestueux de ressentir cette interconnexion, si honorable de la révéler et d’en devenir le serviteur. J’aimerai vous partager un texte tiré du « Livre tibétains de la vie et de la mort » de Sogyal Rinpoché qui nous éclaire avec une grande justesse sur le sujet. « Imaginez une vague à […]

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L’instant présent by Yohan

15 May 2019

Le moment présent c’est vivre intensément avec chacune de ses cellules ce qui EST. C’est s’unir à lui dans une danse éternelle afin de ne faire qu’un. Le moment présent est l’expérience unique permettant d’accéder à une compréhension totale de ce qui EST. Il permet de se rendre compte que la vie n’est qu’une continuité de moment présent. En lui se cache l’éternité, tout s’y trouve et tout y est parfait, car cela ne peut être autrement. Parfois nous désirons ajouter au présent ce que nous pensons de lui. Nous jugeons les situations avant même que celle-ci ne se produisent. Ce que nous pensons en est qu’une infime partie, celle de notre interprétation. Cela reviendrait à juger l’océan à partir de l’une de ses gouttes. Le moment présent doit être vécu sans jugement, il doit être observé, accepté et alors il révèle ses secrets. C’est ainsi que nous prenons conscience qu’il n’y a rien de plus beau et de magique que l’instant présent parce que qu’il est tout ce qui EST, ici, maintenant et à jamais. Le moment présent c’est le début et la fin. C’est à partir de lui que tout existe. Le moment présent n’est ni bon ni mauvais car il est les deux à la fois. Le passé et le futur ne sont qu’illusions car tous deux naissent du présent. Le futur n’est que le présent de demain et le passé n’est que le présent de la veille. Notre essence est immortelle car toujours dans le présent tandis que le corps, lui, est rattaché au mental et donc régi par le temps. Il est amené à mourir et ce depuis le jour de sa naissance. S’identifier au corps, à la partie matérielle, nous amène à vivre dans la souffrance car chaque jour est plus proche de la mort. De ce fait, nous nous attachons à des besoins matériels qui eux aussi un jour seront réduits à néant. La première chose est donc de prendre conscience de qui nous sommes. Quelle partie de nous décidons-nous d’incarner ? Notre essence même réside dans l’immobilité et le silence tandis que le mental lui est rattaché à la pensée compulsive. Maintenant je vous partage le lien d’un article résumant le livre d’Eckhart Tolle qui pour moi est une référence dans ce domaine

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4 mois d’immersion chez Omalaya : témoignage de Charlotte by Yohan

14 May 2019

C’est la dernière semaine de Charlotte, en stage chez Omalaya depuis 4 mois. Pour l’occasion, Yohan l’a interviewé sur son expérience indienne. Voici son témoignage. Yohan : Aujourd’hui nous allons vous partager l’expérience qu’a vécue Charlotte, 22 ans, lors d’un stage au sein de l’agence Omalaya Travel située en Inde. Désireux de connaitre ses ressentis, son parcours, ses émotions face au contraste que l’on peut ressentir en tant que français s’aventurant sur les terres indiennes. Née à Versailles, elle réside actuellement aux Sables d’Olonne où elle suit depuis 3 ans un Bachelor en tourisme. Dans le cadre d’un stage, elle décide de partir à l’étranger sans avoir de réelles idées quant à la destination. En s’aidant d’un site référentiel, elle tombe sur une offre concernant une agence de voyage à Dharamshala et décide alors d’y postuler, n’ayant pourtant à premier abord, aucun attrait pour l’Inde. Suite à la réponse positive de l’agence elle accepte la proposition et se dit : « Allez go, pourquoi ne pas faire l’expérience de ce pays ? » C’est ainsi que débuta cette aventure qui allait durer 4 mois. Y : Qu’as-tu appris durant ces 4 mois ? Charlotte : La patience et une certaine sagesse, à profiter de chaque instant, à vivre au jour le jour CARPE DIEM ! Mais j’ai surtout appris à ne pas trop penser. J’ai aussi appris de bonnes leçons par exemple en côtoyant les tibétains et en prenant conscience de tout ce que le gouvernement Chinois leur a fait endurer. Malgré tout, ils n’en ressortait aucune haine et ils ont raison. Je pense qu’ils ont l’état d’esprit que tout le monde devrait avoir. Lorsque tu viens en Inde tu te rends compte de ce que tu as et non de ce que tu n’as pas et tu restes positif. Et en étant positif tu dégages de meilleures énergies et tu attires en toi de belles choses. En Inde j’ai beaucoup appris sur le partage, les gens sont gentils ils t’aident quelque soit l’endroit d’où tu viens et qui tu es. Ils donnent ce qu’ils ont sans attente, ni peur de manquer. No sorry, no thank you, pour eux c’est normal de prendre soin des gens. Y : Comment se passait la vie à l’agence ? C : Géniale ! Je ne m’attendais pas à cela bien que je ne m’attendais à rien. Je travaillais vraiment dans de bonnes conditions, tu peux travailler comme tu sais faire ils […]

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